Le boom des maisons closes en Belgique

Les annonces sans équivoque pullulent
dans les journaux gratuits français:
«Club en Belgique, 30 min de Lille, recherche hôtesse 19/35 ans,
bons gains, débutante acceptée.»

De l'extérieur, on dirait de respectables maisons bourgeoises.
Mais à l'intérieur, l'ambiance est nettement plus torride.
En Belgique, le long de la frontière française,
les maisons closes poussent comme des champignons.
Depuis 2003 et le durcissement de la loi sur le racolage, de nombreuses prostituées françaises
sont parties exercer leur métier en Belgique où les maisons closes sont tolérées.
Patrons d'établissements et clients sont également français pour la plupart.
« Dodo la Saumure», un Français de 59 ans, est l'un des plus gros chefs d'entreprises du secteur.
Il a, pour le magazine, ouvert les portes de ce business florissant."

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Elles s’appellent Louise, lise, Katia…
Et sont de plus en plus nombreuses à passer la frontière
pour vendre leurs corps dans les maisons closes belges.
Une seconde vie de prostitution
qui les abîme, mais que ces femmes ont été obligées
de choisir à cause du chômage ou d’un salaire de misère.

99 % de nos clients sont mariés, cela change nos rapports aux hommes
c’est très difficile de leur faire confiance ensuite
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Officiellement, son bureau c’est la caisse d’un supermarché. Officieusement,
c’est le Loft des sens, une maison close en Belgique.
Linda fait partie de ces centaines de Françaises qui traversent la frontière
pour travailler dans les bordels, vitrines et autres bars «montants»
autorisés outre-Quiévrain. Des établissements fermés qui offrent sécurité et discrétion à celles
qui pour rien au monde ne choisiraient la rue pour se prostituer.
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